Après WATCH en 2022, et FLOUZ en 2023

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Le triptyque de Paradox Palace se termine avec KRUSH une troisième création au Théâtre du Châtelet et PARADOX STADIUM, un festival gratuit.

Il regroupera tous les participants et intervenants du rhizome Paradox Palace.

Des personnes détenues et anciennement détenues, des résidents d’Ehpad, du Samusocial de Paris, des élèves de CE1, des patients de l'APHP.

Auteurs, illustrateurs, avocats, surveillants pénitentiaires, médecins, infirmiers, économistes, travailleurs sociaux, comédiens, acrobates, musiciens, sportifs…

Toujours avec la complicité de la pianiste virtuose Shani Diluka et du créateur électro Matias Aguayo.

 

Production : Paradox Palace

Coréalisation avec le Théâtre du Châtelet.

 

Krush

Entre les crushs et les krash amoureux et familiaux, le lien

et la relation mis à l’épreuve. Une création musicale autour

des fugues de J.S. Bach.

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Conception, écriture et mise en scène, Olivier Fredj

Assisté de NN

Création lumière, Nathalie Perrier

Scénographie, Thomas Lauret

Avec la complicité de Frédéric Llinares pour les costumes

Coordination musicale, Shani Diluka

Musique électronique, Matias Aguayo

Arrangements, Abel Saint Bris

Shani Diluka, piano

Matias Aguayo, mix électro

NN, percussions

Et

Emma Foucher-Créteau, Jacques Mazeran, Fanny Sintes,

Edouard Gameiro, Nadir Chebila

Des détenus de centre pénitentiaire et des anciens déte-

nus du Paradox Palace.

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Le Paradox Stadium

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Un festival artistique et festif, des "épreuve"s de la vie.

Un studio radio live sur la place du Châtelet pendant deux

jours pour présenter des tables rondes, des épreuves

sportives, du slam, des concerts, des lectures, des dé-

bats... L’aboutissement de la traversée de trois ans du

Paradox Palace avec ses textes, musiques, innovations et

rencontres.

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Avec la collaboration de l’Orchestre National de Jazz

Conception, écriture et mise en scène, Olivier Fredj

Coordination artistique et présentation, Nicolas Lafitte

Collaboration artistique, Arthur Hauvette

Coordination technique, Elsa Lilamand

L’orchestre National de Jazz

Shani Diluka, piano

Matias Aguayo, mix électro

8 anciens détenus, les résidents de l’Ehpad Huguette

Valsecchi, les résidents du Samusocial Popincourt – Les

Alphabètes, les musiciens de Watch, le club de gymnastique

En Avant ! de Paris, …

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Direction des ateliers d'écriture :

Sylvie Ballul, Yann Apperry, Judith Perrignon, Donatien Châteigner, Célia Houdart et Loïc Froissart.

 

 

Pendant près de douze siècles, les Jeux Olympiques représentaient l'événement sportif, mais également social et culturel, le plus important du calendrier de la Grèce antique.
Les bases classiques de la démocratie grecque ont toujours inspiré. Les idées de Périclès notamment, qui présentent l’art et les évènements sportifs comme les rassemblements annuels durant lesquels les citoyens remplissaient leur devoir démocratique.

Mon désir de créer des évènements qui rendent possible cette rencontre trouve ses racines dans cette conception, cette façon de redécouvrir et de renforcer ce sentiment civique et démocratique.

 

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 nous offrent une occasion idéale pour associer à nouveau les Arts et les Jeux.
Nous nous devons, sans relâche ni compromission, d’essayer d’unir nos différentes origines et traditions pour tendre vers l’expérience partagée d’une société réellement civilisée. Connaitre nos origines, retourner à la source, aux fondations de notre société, constituent des connaissances vitales que nous nous devons de partager pour comprendre le présent et construire le futur.
C'est cette volonté qui pousse à la création de ce projet. Tels les cinq anneaux olympiques représentant la rencontre des cinq continents, l'objet serait de réunir des acteurs institutionnels et représentants de la société civile pour débattre, réfléchir sur l'éducation, la santé, la culture, la justice et la solidarité et ce tout au long du déroulement des Jeux.

Au même titre que le stade est le lieu du spectacle sportif pendant les jeux, du rassemblement et de la célébration, le théâtre serait celui de la pensée et d’une société plurielle, celui de la relation. Il serait un lieu commun, ouvert à tous les citoyens.